Ces photographies ont davantage fait émerger une réflexion plutôt qu’elles n’ont cherché à l’illustrer. Elles démontrent également que la cohabitation est régulièrement plus simple qu’il n’y paraît, que l’herbe hors plate-bande trouve sa place au nez et à la barbe du visiteur et du jardinier. Le choc redouté n’est pas arrivé ou il n’a du moins pas été si terrible que cela. Toutefois, les limites restent claires et perceptibles bien que délicates et subtiles. Je les considère souvent comme des garantes.
Issu de diverses pérégrinations européennes, ce travail est continu et probablement sans fin. En tout cas je l’espère. Et il s’agit ici d’un premier volume.